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16 février 2010

Et mardi, c'est

lecture !

Lecture en cours...

parce que ça se lit à petite dose...

Et cela me parle tellement...

9782746713222

Plus de 550 000 personnes décèdent chaque année en France, laissant les proches abattus par un immense chagrin.

Alors que la mort a été écartée du quotidien et se retrouve en partie dissimulée, le deuil est devenu pour chacun un "travail", à "faire" dans un délai prescrit. Les endeuillés sont enjoints d'effacer leur souffrance et de "refaire leur vie". Or ils manifestent tous le besoin de vivre avec l'absence et de construire le souvenir des morts. Les récits bouleversants d'humanité de ceux qui ont perdu un frère, un conjoint, un enfant, un parent en témoignent.

Mais le deuil lui-même a changé de nature avec le remplacement progressif du discours religieux et de ses croyances par celui de la médecine, de ses conquêtes et du fantasme d'immortalité qu'elle véhicule. Aujourd'hui, le deuil périnatal, le deuil d'un enfant - dont la mort est toujours scandaleuse - les deuils à répétition de l'épidémie du sida et même le deuil de ses propres parents au terme d'une vie de plus en plus longue constituent des réalités inacceptables.

L'évolution profonde de notre rapport à la mémoire, au corps et à la mort en Occident pose désormais la question du sens à donner au deuil d'un être proche. C'est autour de cette question et de la place laissée à la mort, aux cérémonies funèbres et au deuil des survivants que Pascal Dreyer a invité à réfléchir des spécialistes - sociologues, psychologues, anthropologues, théologien, philosophe, artiste, professionnels des services funéraires, professionnels de santé - et des endeuillés qu'il a accompagnés dans leur quête de sens.

Faut-il faire son deuil ? Perdre un être cher et vivre

Autrement, collection Mutations dirigé par Pascal Dreyer

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Commentaires
A
passer des petits gâteaux fimo à "ce livre" relève du grand écart ... et pourtant, immédiatement, "il" me parle ... gros mimi mamitta ...
M
oui, je les ais lus aussi les livres de Marie de Henezel...ils peuvent t'apporter une autre vision.<br /> grosses bises Mamitta...je n'aime pas que les gens soient dans la peine.
M
Chacun le vit de façon différente mais l'essentiel est de pouvoir en parler !! plein de gros bisous !
C
Je pense à toi Mamitta ! et si tu veux trainer à Paris et te changer les idées ...n'hésite pas !<br /> Plein de bisous, clairette
S
Je souhaite de tout coeur, chère Mamitta, que cet ouvrage t'apporte un peu d'aide et de réconfort.<br /> Bisous
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